syndicom. Le syndicat dans la distribution et la logistique

Plusieurs dizaines de distributeurs-trices de «Planzer Colis» ont pris contact en 2022 avec le syndicat syndicom. Ils et elles nous ont informés qu’il y avait des anomalies sur leur lieu de travail. Avec le syndicat syndicom, le personnel syndiqué a fait pression sur son employeur jusqu’à ce que celui-ci accepte de négocier une convention collective de travail.

Des solutions ont pu être trouvées avec l’employeur pour la plupart des demandes et des revendications faites par les employé-es. Depuis octobre 2023, une convention collective règle les rapports de travail des employé-es de «Planzer Colis». C’est un progrès important, leurs conditions de travail se sont sensiblement améliorées. Cela prouve qu’ensemble nous trouvons de meilleures solutions pour résoudre les problèmes sur ton lieu de travail!

syndicom défend les coursiers-ères de Smood depuis 2018. Ensemble avec les représentations des coursiers-ères, nous avons négocié de meilleures conditions de travail avec la direction de Smood. Les règles du jeu sont inscrites dans une convention collective de travail (CCT). Lors d’une votation générale, les coursiers-ères de Smood ont approuvé la CCT.

Grâce à la CCT, les coursiers-ères de Smood reçoivent un salaire horaire minimum de 23 francs (pourboires et bonus non compris), les affectations durent en principe au moins deux heures, la garantie est donnée d’obtenir au moins quatre heures de travail hebdomadaires, le travail du dimanche est rétribué avec un supplément de salaire de 5%, le personnel a des droits de codécision dans l’entreprise. Et il y a bien d’autres avantages.

Les employé-es de l’entreprise Chaskis SA livrent des repas avec l’appli Uber. Chaskis SA est membre de l’association patronale pour les services de coursiers urbains «Swiss Messenger Logistics». En 2020, Chaskis SA a adhéré à la convention collective de travail, qui s’applique à la branche des coursiers-ères à vélo et des livreurs-euses de repas. L’entreprise occupe son personnel aux conditions définies dans cette CCT. Chaskis SA a été la première entreprise partenaire d’Uber, qui a reconnu les dispositions qui s’appliquent à la branche.

Le syndicat syndicom fédère des coursiers-ères à vélo dans toute la Suisse. Ensemble avec nos membres, nous avons pu négocier en 2019 une convention collective de travail (CCT) avec l’association patronale pour les services de coursiers urbains «Swiss Messenger Logistics».

Les employé-es des 17 entreprises affiliées à l’association bénéficient de la protection d’une CCT qui leur garantit des conditions d’emploi justes et des salaires minimums. La CCT fixe par exemple aussi les suppléments de salaire (pour le travail du dimanche) ou les tarifs minimaux pour les frais (pour l’utilisation de son vélo ou de son téléphone mobile personnel).

Tu livres des repas avec la voiture, en vélo électrique ou à vélo? Les coursiers-ères de repas sont le visage de la ville, mais pas seulement depuis la pandémie. Les salaires dans cette branche sont bas, les conditions de travail mauvaises. Le syndicat syndicom œuvre, avec ses membres, pour des améliorations: nous voulons de bonnes conditions de travail et des emplois sûrs pour l’ensemble des coursiers-ères de repas.

Certains services de livraison de nourriture à domicile comme Smood, Chaskis ou Velo-Gourmet ont adhéré à la convention collective de travail (CCT) pour les coursiers à vélo et les services coursiers urbains. Leurs employé-es bénéficient de la protection d’une CCT, qui leur garantit des conditions d’embauche équitables et des salaires minimaux. La CCT définit par exemple aussi les suppléments salariaux (pour le travail du dimanche) ou des tarifs minimaux pour les frais (pour l’utilisation de son vélo ou de son téléphone mobile personnel).